Pour la Coupe de France
(et seulement pour ce fameux week-end de juin) pourquoi ne pas chambouler notre
protocole. Exemple : ne pourrions-nous pas adapter un circuit intelligent,
concis et sélectif ? Comme : autoriser que 2 essais pour les sauts (nous
sommes à très haut niveau quand même). Raccourcir les marches aux pieds (pourquoi
durent-elles 2 plombes ? Mystère ?) Travailler sur un principe « de
recherche » axé sur la fulgurance et non sur l’endormissement, etc. alors dans
l’esprit de rendre la finale plus accessible aux yeux du grand public, nous avons
articulé tout ça dans tous les sens et le rapport que j’ai rendu à l’époque
était le suivant, nous avons 3 options.
-
1) retravailler les circuits pour les
rendre fluide.
-
2) travailler sur un parcours en soirée ou
nocturne.
-
3) scinder le parcours en 2. En incluant
un temps de repos sur le parcours ou comme en Mondioring, c’est-à-dire :
moitié samedi & moitié dimanche.
C'est vrai qu'il faisait chaud : Les 24 Heures avec Valmy Land Van Mechelaar.
Puis, sur l’insistance de
plusieurs personnes, nous avons travaillé sur d’autres systèmes qui vont de l’agencement
du parcours, aux termes légaux qui impliqueraient un compétiteur à ne pas
dépasser un certain temps (30 minutes environ) lorsqu’il fait très chaud. Déjà, définissons bien le terme « le
travail du chien ». A) Est-ce que le travail commence à l’entrée du
terrain ? B) Au premier exercice ? C) Est-ce que le temps de travail est compté
du départ de l’exercice jusqu’à la fin de celui-ci ?
- Si nous partons du principe que le commencement du travail
débute à l’entrée du terrain, ceci est faux. Le chien ne travaille pas, il
accompagne son équipe pour la présentation. De ce fait, le temps de
présentation ne doit pas être comptabilisé
- Si nous déclenchons le chronomètre sur le début du premier
exercice (un saut donc), nous partons du principe que le parcours doit être
bien tracé, pour ne pas excéder 35 minutes.
C’est faisable, pour cela il faut se référer aux propositions de Mr & Mme Cavaillé, de Mr & Mme Sylvestre et Mrs Valladon, Villain, Aubry et quelques autres, qui ont pris le temps de réfléchir sur cette fluidité d’exécution. Ce qui est intéressant dans ce type de protocole, c’est que nous pouvons évoluer intelligemment sans défigurer l’esprit du Ring. Il suffit simplement d’emboiter les exercices pour qu’ils ne s’étirent pas en perte de temps. De plus, un parcours mal pensé s’avère pénible à regarder… certes qui a envi de suivre une marche au pied sopporifique ou une escorte interminable ? La finale doit rester « le spectacle ultime », mieux une grande et belle fête du chien. Pour cela, autant travailler dans ce sens et quand je dis travailler, je pense à l’ensemble de notre cynophilie « organisateurs, juges et conducteurs ». En 1) concevoir un terrain approprié (nous n’avons pas besoin de tout le stade). En 2) penser le circuit « rapide, mais fluide », il ne s’agit pas d’enchainer les exercices au taquet, mais de rester cohérent sur le tracé. En 3) positionner des points d’eaux (sous des barnums par exemple) à de multiples endroits avec la permission (sauf avant la face & la fausse) de rafraîchir le chien plusieurs fois. En 4) ne pas déborder sur le temps de mise en place devant un saut, parce que si nous partons du principe que regarder une marche en laisse pendant une plombe « devient vite lassant ». Que dire, d’un conducteur soupesant scrupuleusement le moindre pas (pour ne pas dire le moindre décimètre de placement) et reprenant l’exercice trois fois par sauts ?
C’est faisable, pour cela il faut se référer aux propositions de Mr & Mme Cavaillé, de Mr & Mme Sylvestre et Mrs Valladon, Villain, Aubry et quelques autres, qui ont pris le temps de réfléchir sur cette fluidité d’exécution. Ce qui est intéressant dans ce type de protocole, c’est que nous pouvons évoluer intelligemment sans défigurer l’esprit du Ring. Il suffit simplement d’emboiter les exercices pour qu’ils ne s’étirent pas en perte de temps. De plus, un parcours mal pensé s’avère pénible à regarder… certes qui a envi de suivre une marche au pied sopporifique ou une escorte interminable ? La finale doit rester « le spectacle ultime », mieux une grande et belle fête du chien. Pour cela, autant travailler dans ce sens et quand je dis travailler, je pense à l’ensemble de notre cynophilie « organisateurs, juges et conducteurs ». En 1) concevoir un terrain approprié (nous n’avons pas besoin de tout le stade). En 2) penser le circuit « rapide, mais fluide », il ne s’agit pas d’enchainer les exercices au taquet, mais de rester cohérent sur le tracé. En 3) positionner des points d’eaux (sous des barnums par exemple) à de multiples endroits avec la permission (sauf avant la face & la fausse) de rafraîchir le chien plusieurs fois. En 4) ne pas déborder sur le temps de mise en place devant un saut, parce que si nous partons du principe que regarder une marche en laisse pendant une plombe « devient vite lassant ». Que dire, d’un conducteur soupesant scrupuleusement le moindre pas (pour ne pas dire le moindre décimètre de placement) et reprenant l’exercice trois fois par sauts ?
L'Etalon G'Bang de la Virginie en attente !
Enfin
et dernier point : le temps de travail. Il faut définir
légalement, comment celui-ci est comptabilisé ? Je m’explique, si l’on part du
principe qu’un chien ne doit pas travailler plus de 30 minutes sous de forte
chaleur. Lorsqu’il est entre les exercices, il est dans une zone de
récupération et donc, il ne travaille pas ! Il faudrait chronométrer le temps «
effectif » de travail et l’additionner, ainsi nous saurions si oui ou non, nous
sommes dans la bonne norme.
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