Adieu Rick.
Je me rappelle encore
nos ballades dans les chemins jouxtant la campagne Berrichonne, à l’époque tu
étais bien jeune… pourtant, André n’avait que d’éloges à ton sujet : il t’avait
surpris jouant avec un énorme bidon que tu faisais basculer jusqu’aux cieux ! Impressionnant : avait-il dit, il n’y a que les Belges pour nous faire des
Malinois de cette trempe. Puissant ? Certes… Rustique ? Oh que oui… Rude ?
Absolument… tu étais la quintessence d’un programme mis au service d’un autre.
Tes origines ne pouvaient renier ton caractère, ta fameuse position couchée «
les pattes croisées » et ce regard, qui en disait long sur ton courage & ta
détermination. Impliable tu étais, rebelle jusqu’à la fin tu seras.
Un Homme,
un seul réussira à te comprendre et c’est vers lui que mes pensées se tournent,
car apprendre en sa compagnie a également fait de moi… ce que je suis. JM
Vedrenne.
Bel hommage!����
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