vendredi 14 avril 2017

Retour sur le Mondial FMBB 2016 : Part 9.

 
 
Alors si les résultats en individuel propulsent un Français Vice-Champion, force est de constater que l’énorme travail de l’équipe de France nous place pour l’instant, Champion du Monde. Inutile de préciser que la calculatrice a eu quelques bugs, pourtant… il faut attendre !
 
 
 
 
Comment tuer le temps sans se ré-ouvrir un ulcère et bien c’est simple, il suffit d’aller se promener. En ce qui me concerne, je décide de faire visiter l’ensemble du complexe à mon petit-fils (6 ans), nous commençons par l’Agility (la finale) et coup de chance, nos Français pénètrent dans l’arène. En voyant les turbines à 4 pattes littéralement dévorer les agrès, je ne suis guère étonné de les applaudir sur notre terrain de Mondio. En effet, après avoir laminé (transformé en rizière serait plus juste) leur propre terrain, ils ont dû déménager.
 
 
 
 
 
Voici donc,  nos joyeux drilles à fond la caisse sur un pré parfaitement entretenu, l’ambiance est au max, le temps est au beau fixe et nous entrons dans la danse au rythme d’un public déchainé. Après en avoir pris plein les yeux, nous allons visiter l’autre côté du complexe avec l’OB et le RCI, cette dernière discipline va subjuguer mon ptit fillot qui ne s’est toujours pas remis de la prestation d’un certain Ivan Balabanov et pour cause ! Ouaou m’a-t-il dit, tu as vu comment le Malinois a croqué le bras du bonhomme ? Oui, j’ai vu petit et toi aussi un jour… qui sait ? Mais lui comme moi, avions encore rien vu !
 
 
Après une loooongue promenade qui restera à jamais gravé dans ma mémoire (et dans mes articulations), nous sommes fin prêt à découvrir le fameux défilé. Idéalement placé, je découvre un stade impérial, les coupes & médailles soigneusement alignées reflètent la victoire à grand renfort d’un soleil illuminant l’édifice. Le site surplombé de plusieurs podiums est impressionnant, quant au public ? Celui-ci reste accroché aux barrières en écoutant religieusement la voix de notre speaker énumérer les points forts de cette semaine.


 
 
Enfin, nos officiels tirés à quatre épingles prennent place et la parade commence : chaque nation clamée par le Maître de Cérémonie (en plusieurs langues) harangue la foule qui, par ricochet se voit immédiatement saluée de hourras Olympiens. Imaginez qu’au-delà de l’effet sonore, nous en prenons plein les yeux avec des équipes défilant en tenue, arborant drapeaux, bandanas, pancartes et autres accessoires multicolore.



C’est bien simple pendant plus de 30 minutes, le stade brule d’une seule entité… celle d’une planète Cynophile. Les équipes sont enfin sacrées sur les podiums, le public ovationne à tout rompre, les cliquetis et autres flashs des photographes redéfinissent la soirée en en feux d’artifices et soudain, le temps s’arrête… nous restons comme envouté par un tel spectacle.

 
 
 
Mes amis et en conclusion : je vous souhaite de vivre « ça » au moins une fois dans votre vie.     

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