Alors si les résultats en individuel propulsent
un Français Vice-Champion, force est de constater que l’énorme travail de
l’équipe de France nous place pour l’instant, Champion du Monde. Inutile de
préciser que la calculatrice a eu quelques bugs, pourtant… il faut
attendre !
Comment tuer le temps sans se ré-ouvrir un ulcère et bien c’est
simple, il suffit d’aller se promener. En ce qui me concerne, je décide de
faire visiter l’ensemble du complexe à mon petit-fils (6 ans), nous commençons
par l’Agility (la finale) et coup de chance, nos Français pénètrent dans
l’arène. En voyant les turbines à 4 pattes littéralement dévorer les agrès, je
ne suis guère étonné de les applaudir sur notre terrain de Mondio. En effet,
après avoir laminé (transformé en rizière serait plus juste) leur propre
terrain, ils ont dû déménager.
Voici donc, nos joyeux drilles à fond la caisse sur un pré
parfaitement entretenu, l’ambiance est au max, le temps est au beau fixe et
nous entrons dans la danse au rythme d’un public déchainé. Après en avoir pris plein
les yeux, nous allons visiter l’autre côté du complexe avec l’OB et le RCI,
cette dernière discipline va subjuguer mon ptit fillot qui ne s’est toujours
pas remis de la prestation d’un certain Ivan Balabanov et pour cause !
Ouaou m’a-t-il dit, tu as vu comment le Malinois a croqué le bras du
bonhomme ? Oui, j’ai vu petit et toi aussi un jour… qui sait ? Mais
lui comme moi, avions encore rien vu !
Après une loooongue promenade
qui restera à jamais gravé dans ma mémoire (et dans mes articulations), nous
sommes fin prêt à découvrir le fameux défilé. Idéalement placé, je découvre un
stade impérial, les coupes & médailles soigneusement alignées reflètent la
victoire à grand renfort d’un soleil illuminant l’édifice. Le site surplombé de
plusieurs podiums est impressionnant, quant au public ? Celui-ci reste
accroché aux barrières en écoutant religieusement la voix de notre speaker
énumérer les points forts de cette semaine.
Enfin, nos officiels tirés à quatre
épingles prennent place et la parade commence : chaque nation clamée par
le Maître de Cérémonie (en plusieurs langues) harangue la foule qui, par
ricochet se voit immédiatement saluée de hourras Olympiens. Imaginez qu’au-delà
de l’effet sonore, nous en prenons plein les yeux avec des équipes défilant en
tenue, arborant drapeaux, bandanas, pancartes et autres accessoires
multicolore.
C’est bien simple pendant plus de 30 minutes, le stade brule d’une seule entité… celle d’une planète Cynophile. Les équipes sont enfin sacrées sur les podiums, le public ovationne à tout rompre, les cliquetis et autres flashs des photographes redéfinissent la soirée en en feux d’artifices et soudain, le temps s’arrête… nous restons comme envouté par un tel spectacle.
Mes amis et en
conclusion : je vous souhaite de vivre « ça » au moins une fois
dans votre vie.
C’est bien simple pendant plus de 30 minutes, le stade brule d’une seule entité… celle d’une planète Cynophile. Les équipes sont enfin sacrées sur les podiums, le public ovationne à tout rompre, les cliquetis et autres flashs des photographes redéfinissent la soirée en en feux d’artifices et soudain, le temps s’arrête… nous restons comme envouté par un tel spectacle.
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