Le premier quart temps
achevé, notre ami le soleil vient taquiner les photographes (Sainte Biafine
priez pour nous) et si Couguar a fait monter le thermomètre, les 2 lices
sélectionnées pour la Finale vont accentuer son ascension. Tout d’abord Era du
Creux Thatcher nous invite au mordant sans passer par la palissade et
hop : 30 de Face & de Fuyante avec classe, force & jugeote. La
Valise s’avère plutôt chaude (avec 3 sorties franches à environ 2 mètres) et la
fausse superbe, mais la partie technique « Défense + recherche » va
lui coûter ses points de retraites (la bougresse nous claque une brouette de
tarde à décrocher sans une once de remord). Peu importe, quand on aime on ne
compte pas et puis, lorsqu’on affiche ce type de pedigree… on a le droit d’en
profiter non ?
PHILIPPE LORQUET & ERA DU CREUX THATCHER
Boyder Van Joefarm IPO3 (Youngboy, Roe, Urosh, Lucas,
Nelton x2, Elgos)
V’Usher
du Creux Thatcher Finaliste Ring
Olka du Creux Thatcher
Ring 3 (Gun du Creux Thatcher, G’Bang, Dusty)
ERA du Creux Thatcher
O’Bane du Banc des
Hermelles Finaliste Ring (Ittee, Keebee, Horsie, Cops)
Athy des Montagnes de Kabylie
Oresse du Creux Thatcher
RCI3 (Gun du Creux Thatcher, Flipper, Itusk, Atos)
La Fulgurante ERA nous sort un parcours de Folie.
Comment finir en beauté avec une entrée de Face plongeante sur l'Apache: elle devait surement avoir un ptit creux ?
Alors que nous
apprécions la splendide lignée d’ERA, pour la seconde Lice, c’est-à-dire Guess,
la vie est belle : 60 de sauts, une Ob spectaculaire (juste -2 pour un
amorce retour entachera sa feuille) et une partie intervention de haute volée.
Les attaques sont particulièrement dynamiques, les placements sont très fluides
(ce qui accentue les réactions sur les fuites) et la Valise somptueuse 29.
Voilà comment joindre l’utile à l’agréable, puisque non seulement « La
Belle » remporte le Ch Dom-Tom*, mais en plus « elle pénètre le
Top-Ten de la Coupe », chapeau bas Msieur François.
Malgré toutes ses belles tentatives, nos valeureux candidat(e)s sont toujours à la recherche du 380* et donc du Ringueur* capable de débusquer un Couguar ? C’est ainsi que l’arrière garde aura une idée originale, celle d’expédier les Dalton. Tandis que Duke-Dalton nous sort l’artillerie lourde sur les attaques lancées (ne me dites pas que l’on retrouve Loubard dans son papier ?), le second Dalton, (c’est-à-dire, celui de Stéphane Chevalier) dissémine quelques petits points çà et là, rien de méchant pour une sélection… mais pas pour la finale ! Fort heureusement, il se rattrape par une prestation « mordante » correcte, ce qui le placera 13ème au classement général.
Après les Daltons, voici le Malinois qui tire plus vite que son nombre, j’ai nommé Dusty et avec lui… ce n’est pas qu’un nom qui sonne*, c’est surtout la grosse claque du samedi. En effet, je n’aurai pas assez de mots pour définir son parcours, jugez plutôt : il rentre sur le terrain hyper détendu, que dis-je… Heureux !
De plus la symbiose « Conducteur-Equipier »
est à son paroxysme, c’est bien simple, le binôme de Vitry-le-François dévore
cette finale à pleines dents et comme le signale mon collègue Roger Guebel
« c’est beau à voir ». Voilà le véritable terme, car cette équipe va
appuyer simultanément sur toutes les manettes du Ring : Actions percutantes
(même dans le plat, imaginez une attaque sur le rapport d’objet !!!!),
vigueur dans les mises en place, puissance d’entrée phénoménale, fuite
d’extra-terrestre (en témoigne la recherche à 38 avec prises instinctives basse
& haute), Valise à 30 (avec 2 frappes à décorner un bouquetin centenaire)
et l’ensemble avec le fouet en l’air, svp...
Je n’irai pas par 4 chemins : ce Malinois m’a époustouflé !
GUESS Dite LA BELLE ou LA CLASSE !
Malgré toutes ses belles tentatives, nos valeureux candidat(e)s sont toujours à la recherche du 380* et donc du Ringueur* capable de débusquer un Couguar ? C’est ainsi que l’arrière garde aura une idée originale, celle d’expédier les Dalton. Tandis que Duke-Dalton nous sort l’artillerie lourde sur les attaques lancées (ne me dites pas que l’on retrouve Loubard dans son papier ?), le second Dalton, (c’est-à-dire, celui de Stéphane Chevalier) dissémine quelques petits points çà et là, rien de méchant pour une sélection… mais pas pour la finale ! Fort heureusement, il se rattrape par une prestation « mordante » correcte, ce qui le placera 13ème au classement général.
Après les Daltons, voici le Malinois qui tire plus vite que son nombre, j’ai nommé Dusty et avec lui… ce n’est pas qu’un nom qui sonne*, c’est surtout la grosse claque du samedi. En effet, je n’aurai pas assez de mots pour définir son parcours, jugez plutôt : il rentre sur le terrain hyper détendu, que dis-je… Heureux !
RUDY SOSSI & DUSTY
Je n’irai pas par 4 chemins : ce Malinois m’a époustouflé !
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